Mon gynécologue

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il y a 7 ans

Mon gynécologue

Je m’appelle Sylvie. Depuis l’âge de 18 ans je rendais visite à mon gynécologue il avait alors 30 ans. Aujourd’hui j’en ai 28 et lui 40. Cela fait plus de 15 fois que je me mets à nu devant lui, dans cette position qui nous rend complètement soumise. J’avoue que depuis mes premières relations sexuelles j’éprouve un certain frisson de me retrouver jambes écartées devant mon toubib. Je crois bien que je ne dois pas être la seule dans ce cas et dès fois l’idée qu’il a b u s e de la situation me taraude également. Il faut avouer que mon médecin est très beau garçon.

Cette visite avait été planifiée depuis plus de deux mois mais un événement avait surgit entre temps mon mari était parti en mission sur un site étranger depuis 6 semaines et un manque certain de relations commençait à se faire sentir.

Lorsque je me suis installée sur la table des opérations, une sourde envie de sexe me comprimait l’estomac et des images hard envahissaient mon cerveau. J’imaginais mon docteur qui procédait à mon occultation avec un outil bien particulier. J’essayais d’évacuer ces images mais une chaleur dans mon bas ventre survenait quand le toubib posa ses mains sur mes entrecuisses.

Il commençait à m’ausculter avec ses doigts en passant légèrement sur mon clitoris et je frissonnais d’envie. Sans ambages, il le confirma :

– Vous êtes drôlement mouillée dites donc ! ! !

Le rouge de la honte me monta aux joues et il continua sur le même ton

– Votre mari vous délaisse ? ? ? ?

Je ne savais pas quoi dire et je bredouillais bêtement qu’il était en mission depuis 6 semaines en réalisant que cela n’était pas une excuse.

Il se dirigea vers son bureau et appuya sur un bouton puis se rapprocha de moi

Mon désir ne s’était pas estompé et lorsqu’il posa sa main sur mes seins pour l’examen mammaire un léger soupir m’échappa.

Il me dit : – Je crois que vous avez besoin d’un examen complet aujourd’hui

Il commença à me pétrir les seins d’une façon peu habituelle mais ses caresses me prodigua un bien fou et j’avais beau essayer de prendre un visage offusqué aucun son ne sortait de ma bouche et je n’esquivais aucunement ses gestes.

j’avais l’impression d’être soumise complètement à sa volonté. Il s’assit de nouveau sur son tabouret en face de mes cuisses ouvertes et trempées et commença à me lécher la chatte avec lenteur.

– Alors ma jolie, on aime ça, hein, vous allez voir comme vous sortirez d’ici comblée ! ! !

Ses paroles et le ton employé m’excitaient encore plus, j’avais du mal à ne pas jouir brutalement sous ses coups de langue appuyée et pénétrante. Il enfonça un doigt dans ma chatte en me pistonnant. Sa langue agaçait mon clitoris, très vite j’émis un cri de jouissance car j’avais atteint mon premier orgasme.

– Je vais vous donner un bon spéculum pour ouvrir votre minou ma belle vous m’en direz des nouvelles ! ! !

Ce vouvoiement dans ces conditions avait pour effet de m’exciter encore plus. Je pensais à mon mari et je me traitais de salope mais j’avais trop envie d’une belle queue dans mon con. Mon mari disait toujours que les femmes sont toutes des salopes qui pouvaient se faire prendre par n’importe qui et n’importe comment. Seules celles qui ne s’étaient pas fait agresser sexuellement niées l’évidence. Il avait bien raison, j’en étais la preuve.

Mon gynéco sortit de sa blouse un sexe dur et rougi et me pénétra sans délicatesse et commença à me pistonner avec ardeur. Très vite, je jouis mais lui il continuait à me pénétrer sans ménagement c’était divin, je sentais sa queue raide me ramoner, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler ma jouissance.

– Elle aime ça, hein se faire baiser par son toubib hein elle aime ça ! ! ! tu n’es pas la première ni la dernière

Je ne répondais rien et il me claqua l’entre cuisse et m’ordonna de répondre.

Cela m’excita terriblement : Oh oui j’aime ça, allez-y docteur, c’est bon encore encore ! ! ! !

– Tu es une belle salope, tu vas voir ce n’est pas fini, ton mari a raison de t’oublier nous on va s’occuper de toi !

Il me tutoyait et pourquoi » NOUS » j’étais trop absorbée par ma jouissance je sentis sa verge se contracter et il se retira brutalement, très vite il vint vers ma bouche pour me faire gober sa queue tout en me masturbant avec ses doigts.

– Tu vas boire mon sperme, tu vas voir comme il est sucré, tu aimes le miel j’espère ? ? ? ?

Je reçus de grandes giclées dans ma bouche et le goût était vraiment acidulé un vrai délice je m’en délectais et je jouis de nouveau.

– Viens Phil, elle en redemande cette petite, tu vas apprécier cette pouliche

J’avais encore la bouche remplie de sa queue et je léchais son jus et surprise par sa phrase j’ouvris les yeux pour apercevoir devant moi un grand homme, l’autre gynéco ! ! ! ! Mon dieu ils allaient me baiser tous les deux les salauds.

Mon toubib me tenait la tête à deux mains et je ne pouvais pas parler et mes jambes étaient attachées. L’autre docteur sortit de sa blouse, devant mes yeux, un sexe énorme et v i o l acé. Quel engin, il bandait déjà très dur, mon dieu j’allais dérouiller, elle faisait au moins 20 cm et était large et toute veinée.

– Regarde ses yeux d’envies qu’elle te fait, elle en redemande vas y prends-la ! ! !

Au fond de moi je sentais le désir de me faire posséder par cette queue énorme. Ce serait ma première vraie grosse queue.

Il se positionna à l’entrée de mon vagin, déjà préparées par l’autre assaut, mon toubib me faisait lécher sa queue et me peloter les seins. Je sentais une chaleur envahir l’entrée de mon sexe, son gros gland se positionnait pour f o r c e r le passage.

– Dis que tu la veux sa queue, vas y dis-le ! ! ! Allez dis-le ! ! !

– Oh Oui, oui allez y donner-la moi vite, vite ! ! ! !

– Tu vas jouir avec son gros bâton ma belle ! ! ! !

Il s’enfonçait progressivement dans ma chatte écartelée par l’énorme engin et j’émettais déjà des petits cris de jouissance. Je me sentais remplie comme jamais je ne l’avais été, que c’était bon. Il commença à me pistonner en douceur. Mon toubib disparut en me laissant à ma nouvelle jouissance. J’avais honte de moi de m’offrir comme cela à deux hommes coup sur coup j’étais une sacrée salope mais l’envie de sexe était trop forte pour résister. Ma vraie nature se révélait sûrement.

Je me surpris à donner des coups de reins pour aller devant cette queue et Phil commença à me ramoner sévère sur toute la longueur de sa colonne de chair. Très vite je jouis comme une folle et je ne pus retenir mes cris d’orgasmes qui eux se succédaient.

Je n’avais jamais joui de la sorte, j’étais au bord de l’évanouissement. Ce phallus énorme me défonçait dans un rythme soutenu. Je sentais ma chatte trempée de jouissance, après un long moment de fornication je sentis sa queue devenir encore plus raide dans mon ventre. Je fus secoué par un formidable flot de sperme qui inondait mon con et un orgasme v i o l ent m’envahit, mon corps se mit à trembler en convulsion pendant d’interminables minutes. Il restait là sa queue plantée dans ma chatte jusqu’à la fin de mon interminable jouissance.

Il se retira de mon corps et déposa un baiser sur mes seins puis se retira de la pièce.

Mon toubib vint me libérer de mes liens et me dit :

– Restez là mon assistante va vous aider à vous remettre en état, ma jolie ! !

Alors je ne vous ai pas menti, vous avez joui comme une folle ! !

Je n’avais plus de f o r c e pour répondre mais cela était vrai j’avais joui comme une furie avec les deux queues de ces messieurs respectables.

Une infirmière rentra dans la salle avec des linges

Mon toubib me glissa à l’oreille :

– Revenez quand vous voulez et la prochaine fois on s’occupera de votre petit cul… puis il quitta la pièce

J’étais interloquée par son audace mais tellement dans les vapes que je ne répondais rien.

L’assistante commença à me nettoyer et j’étais de nouveau honteuse de moi devant cette femme. Que pensait-t-elle donc de moi ?

Elle me dit :

– Je vois que vous avez eu un traitement spécial, quelle chance.. Moi, Hum, j’en rêve la nuit mais ils ne se sont pas encore occupés de mon cas. Veinarde ! ! !

Je restais sans voix de la façon dont elle considérait cet acte, et bien je pouvais constater qu’effectivement il y avait pas mal de petites vicieuses chez nous autres. Elle me laissa seule pour me rhabiller et me demanda de sortir par l’autre porte. Je me retrouvais dans un couloir avec un écriteau » sortie » devant moi.

Arrivée à la porte, j’entendis une voix féminine me héler.

– Madame, Madame vous oubliez votre prochain rendez vous … et elle me tendit un carton.

Je pouvais lire dessus » rendez-vous mardi 15 à 18h30 » Veuillez confirmer Merci

C’était dans quinze jours. , Un grand point d’interrogation j’irai, j’irai pas ? ? ? ? Une sourde envie se faisait déjà sentir en moi. Mon dieu quelle salope j’étais devenue……

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